Vos questions

La plongée est un sport sans risques particuliers pour peu que l’on respecte à la lettre les différentes consignes de sécurité données par la fédération de plongée, le club avec lequel vous plongez et l’instructeur/divemaster/guide de palanquée qui vous emmène sous l’eau.
La plongée peut générer des vertiges sous l’eau si le plongeur n’équilibre pas régulièrement la pression qu’il ressent au niveau de ses oreilles, entraînant une surpression des tympans et éventuellement, entre autres, des vertiges.
Plusieurs facteurs peuvent entraîner des mots de têtes post plongée : un masque mal adapté ou trop serré, une descente où le plongeur aurait trop insisté sur l’équilibrage de la pression des oreilles…

Prendre l’avion avant de plonger ne présente aucun risque; En revanche, vous devez respecter la règle suivante pour prendre l’avion après avoir plongé :
Pas d’embarquement dans les 12h suivant une plongée unique. Si vous avez effectué plusieurs plongées, ce délai passe à 18h.

Il ne faut pratiquer la plongée qu’en étant en bonne santé. Si le plongeur ne pouvait équilibrer la pression sur ses oreilles à la descente, pour raison de sinusite, rhume… alors il y aurait risque de douleurs aux oreilles.

La plongée nécessite d’être en bonne condition physique, si le plongeur suspecte un début de maladie quelconque, alors mieux vaut repousser la sortie plongée. En cas de sinusite ou pneumonie, il vaut mieux repousser sa sortie plongée jusqu’à se trouver dans une meilleure condition physique. En outre, il ne faut surtout pas utiliser de décongestionnant nasale, qui bien souvent ne nettoie pas l’intégralité des sinus si ceux-ci sont encombrés.

Encore une fois, la plongée est un sport qui nécéssite d’être en bonne santé mais également, en bonne condition physique. En outre, respecter les consignes de sécurité données par le club pour le transport du matériel ou la montée/descente du bateau, par le guide de palanquée/divemaster pour entrer dans l’eau et en sortir et enfin par la fédération de plongée, excluant de toucher sous l’eau, tout poissons, coraux, rochers…devraient vous permettre d’éviter les déconvenues physique qui pourraient découler du non-respect de ces règles.

La méthode la plus courante: Il suffit de pincer votre nez et de souffler doucement pour faire monter la pression dans les sinus.

Pour réaliser une belle descente en plongée, dans des conditions classiques, sans courant, ni houle ni mauvaise visibilité, il faut avant tout vider son gilet, puis se laisser couler doucement en pensant bien à équilibrer régulièrement la pression de ses oreilles.

1. Regardez vers le bas.
2. Posez deux doigts sur le haut du masque (normalement sur la vitre)
3. Prenez une inspiration (par la bouche bien sûr)
4. Enfin, soufflez doucement, mais fermement par le nez en relevant la tête vers la surface.

La respiration en plongée sous marine nécessite de ne respirer que par la bouche sur son détendeur, lui même relié à la bouteille de plongée, via le 1er étage, régulateur de pression; détendeur que l’on garde en bouche tout le long de la plongée, évidemment.

Afin de réduire sa consommation, il faut avant tout être correctement lesté, maîtriser sa flottabilité afin de ne pas inutilement gaspiller de l’air en gonflant et dégonflant souvent son gilet. Il faut également resté calme et relax. Plus le plongeur évolue doucement et calmement, moins il se fatiguera et consommera d’oxygène inutilement. Enfin, il faut bien planifier sa plongée et connaître le site de plongée afin d’éviter les moments de stress du au courant, à la navigation sous l’eau…

Tout dépend de la personne (poids) mais également du matériel (combinaison) employé. Plus votre combinaison est épaisse, plus l’effet de flottabilité positive se fait sentir et plus le lestage devra être conséquent.

L’alcool peut augmenter le risque de narcose à l’azote, due à l’excès d’azote qui agit sur le système nerveux et entraîne des troubles du comportement. C’est pourquoi, il est déconseillé de consommer de l’alcool ou autre substance illicite, avant toute plongée.

Pendant longtemps, l’asthme a été une contre indication à la plongée sous-marine. A présent, il est couramment admis, qu’après avis d’un pneumologue, et sous certaines conditions, un asthmatique peut pratiquer cette discipline.

La pression exercée par l’eau en plongée induit une augmentation des pressions partielles en oxygène, en azote et en gaz carbonique, ainsi que sur les organes internes. De ce fait, même si les chercheurs manquent de données pour émettre un avis définitif, il apparaît cependant, que la plongée en étant enceinte est à considérer comme une activité à risque.

L’évolution des traitements donne, maintenant, aux personnes diabétiques la possibilité de plonger. Tout dépend du type de diabète et des recommandations du diabétologue selon l’état de la maladie. Dans tous les cas, un certificat médical est impératif, ainsi qu’un briefing précis de la conduite à tenir pour le binome ou le guide de plongée en cas de crise.

Il n’y a pas à proprement parler de « Meilleur masque de plongée »

Il faut bien essayer son masque de plongée avant de l’acheter, tous les visages n’ont pas la même morphologie et de ce fait, une marque de masque qui ira parfaitement bien à une personne, peut tout à fait ne pas du tout convenir à un autre individu.

Un détendeur se compose de deux éléments principaux : Le premier étage correspond à la partie reliée à la bouteille de plongée qui abaisse la pression de celle-ci, à une pression comprise entre 8 et 11 bars. Le deuxième étage, quant à lui, baisse la pression de l’air arrivant du premier étage à la pression ambiante.
Pour choisir le bon détendeur, il faut acheter ou louer, celui qui sera adapté au type de plongée que vous allez réaliser.

Le couteau de plongée est essentiel à la pratique de la plongée sous marine car c’est, avant tout, un outil de sécurité qui , en cas de problème, peut vous sortir de situations potentiellement dangereuses, telles que s’emmêler dans un filet ou un cordage. Il doit donc posséder certaines caractéristiques propres à une utilisation en milieu marin: avoir un côté tranchant et un bord denté, être fabriqué en acier inoxydable ou en titane, posséder un fourreau adapté à la plongée.

• Un boîtier robuste, étanche à l’eau et résistant à la pression.
• Un commutateur fiable, facile à allumer et éteindre, même en portant des gants.
• Un (ou des) joint (s) torique (s) étanche (s) pour accéder aux piles et l’ampoule.
• De nombreuses lampes sont livrées avec une lanière de poignet ou
• Un clip de façon à ce que même si vous la lâchez accidentellement, vous ne la perdiez pas.

Bien sûr! Il est même recommandé que vous veniez avec votre propre ordinateur de plongée. Mais si vous n’en avez pas, le club de plongée pourra sans doute vous en louer un. Vous pouvez également plonger avec votre Gopro, sous réserve que vous ne suiviez pas de cours et que vous ayez un comportement responsable envers la faune marine, en ne chassant pas un requin, par exemple, pour prendre une belle image. Cependant, vous êtes responsable de votre matériel que ce soit la montre de plongée ou la Gopro.